Univers du Bronze - Highlights BRAFA 2026
04/11/2025
La sélection UDB 2026 présente un panorama exceptionnel de la sculpture du XIXᵉ au XXᵉ siècle, alliant qualité muséale et élégance décorative.
Parmi les pièces majeures figure le Gloria Victis d’Antonin Mercié, dans son rare modèle chef — un bronze demi-grandeur nature, matrice originale des reproductions, dont une douzaine d’exemplaires seulement sont connus, dont celui du musée des Augustins à Toulouse. Documentée dans une note de 1912 chez Barbedienne, cette œuvre marque une étape importante dans la collaboration entre le sculpteur et le fondeur.
La transition vers la modernité est illustrée par la Tête de Balzac d’Auguste Rodin, un tirage ancien de Griffoul vers 1890, remarquable par sa texture vibrante et sa nervosité expressive.
Antoine Bourdelle est représenté par une Tête de Beethoven à la colonne, liée à sa correspondance avec l’écrivaine Henriette Charasson, qui éclaire la dimension intime et littéraire de cette œuvre.
Un marbre symboliste de Naoum Aronson, sculpteur biélorusse actif à Paris, témoigne de sa maîtrise de la taille directe dans le marbre de Thasos.
La section animalière met à l’honneur le Retour de chasse avec cornac de Roger Godchaux, un grand bronze limité à quinze épreuves de son vivant.
La scénographie accorde une place importante au mobilier et au design. La Table Femme de Philippe Hiquily, en laiton martelé et plateau de verre, incarne un surréalisme élégant. Le sculpteur belge Jivko présente une Console poétique représentant un héron parmi les nénuphars. Les meubles ludiques et animaliers d’Hubert Le Gall ajoutent une touche contemporaine et fantaisiste.
L’ensemble illustre l’évolution de la sculpture, de l’académisme à la modernité. L’exposition met en lumière à la fois la portée historique et la richesse esthétique des œuvres. Elle promet un dialogue fécond entre sculpture, design et innovation artistique.
BRAFA 2026 - Univers du Bronze - Highlights pour la foire Parmi les pièces majeures figure le Gloria Victis d’Antonin Mercié, dans son rare modèle chef — un bronze demi-grandeur nature, matrice originale des reproductions, dont une douzaine d’exemplaires seulement sont connus, dont celui du musée des Augustins à Toulouse. Documentée dans une note de 1912 chez Barbedienne, cette œuvre marque une étape importante dans la collaboration entre le sculpteur et le fondeur.
La transition vers la modernité est illustrée par la Tête de Balzac d’Auguste Rodin, un tirage ancien de Griffoul vers 1890, remarquable par sa texture vibrante et sa nervosité expressive.
Antoine Bourdelle est représenté par une Tête de Beethoven à la colonne, liée à sa correspondance avec l’écrivaine Henriette Charasson, qui éclaire la dimension intime et littéraire de cette œuvre.
Un marbre symboliste de Naoum Aronson, sculpteur biélorusse actif à Paris, témoigne de sa maîtrise de la taille directe dans le marbre de Thasos.
La section animalière met à l’honneur le Retour de chasse avec cornac de Roger Godchaux, un grand bronze limité à quinze épreuves de son vivant.
La scénographie accorde une place importante au mobilier et au design. La Table Femme de Philippe Hiquily, en laiton martelé et plateau de verre, incarne un surréalisme élégant. Le sculpteur belge Jivko présente une Console poétique représentant un héron parmi les nénuphars. Les meubles ludiques et animaliers d’Hubert Le Gall ajoutent une touche contemporaine et fantaisiste.
L’ensemble illustre l’évolution de la sculpture, de l’académisme à la modernité. L’exposition met en lumière à la fois la portée historique et la richesse esthétique des œuvres. Elle promet un dialogue fécond entre sculpture, design et innovation artistique.