HELENE BAILLY MARCILHAC - Highlights BRAFA 2026
12/11/2025
La Galerie HELENE BAILLY MARCILHAC est heureuse de participer à la 71e édition de la BRAFA pour la quatorzième année consécutive.
À cette occasion, la galerie présentera une sélection d’oeuvres postimpressionnistes, fauves et modernes, réunissant des signatures parmi les plus importantes de ces périodes.
Parmi les oeuvres majeures exposées, la galerie présentera une pièce exceptionnelle d’Émile Othon Friesz datant de 1907, témoignage vibrant du fauvisme à son apogée, une toile intime et fauve de Henri Manguin réalisée en 1908 représentant une femme se dévêtant, ainsi qu’une oeuvre lumineuse de Théo Van Rysselberghe, également datée de 1908, illustrant avec éclat l’esthétique néo-impressionniste de cette période.
Le parcours sera également rythmé par un dialogue singulier entre Francis Picabia et Victor Brauner, deux figures majeures du surréalisme. Les oeuvres présentées, issues d’une collection privée conservée au sein de la même famille depuis plus de trente ans, témoignent d’un lien intime entre ces deux amis. Le portrait de Brauner peint par Picabia entre en résonance avec une oeuvre de Brauner, formant un ensemble d’une rare cohérence et d’une profonde intensité artistique.
Un Arbre à Cocons de Charles Macaire viendra parfaire cet ensemble. L’artiste y célèbre la valeur du geste et la noblesse du travail manuel. Entièrement façonné à la main en papier, cet ouvrage délicat et aérien incarne avec justesse la rencontre entre création artistique et savoir-faire artisanal, prolongeant le dialogue entre nature, matière et poésie.
À cette occasion, la galerie présentera une sélection d’oeuvres postimpressionnistes, fauves et modernes, réunissant des signatures parmi les plus importantes de ces périodes.
Parmi les oeuvres majeures exposées, la galerie présentera une pièce exceptionnelle d’Émile Othon Friesz datant de 1907, témoignage vibrant du fauvisme à son apogée, une toile intime et fauve de Henri Manguin réalisée en 1908 représentant une femme se dévêtant, ainsi qu’une oeuvre lumineuse de Théo Van Rysselberghe, également datée de 1908, illustrant avec éclat l’esthétique néo-impressionniste de cette période.
Le parcours sera également rythmé par un dialogue singulier entre Francis Picabia et Victor Brauner, deux figures majeures du surréalisme. Les oeuvres présentées, issues d’une collection privée conservée au sein de la même famille depuis plus de trente ans, témoignent d’un lien intime entre ces deux amis. Le portrait de Brauner peint par Picabia entre en résonance avec une oeuvre de Brauner, formant un ensemble d’une rare cohérence et d’une profonde intensité artistique.
Un Arbre à Cocons de Charles Macaire viendra parfaire cet ensemble. L’artiste y célèbre la valeur du geste et la noblesse du travail manuel. Entièrement façonné à la main en papier, cet ouvrage délicat et aérien incarne avec justesse la rencontre entre création artistique et savoir-faire artisanal, prolongeant le dialogue entre nature, matière et poésie.